Le Petit Bulletin
Plus qu’un hebdomadaire gratuit, le Petit Bulletin est un guide pratique assez incontournable pour trouver de nouvelles idées de sorties à Lyon : des séances de cinéma, aux conférences culturelles, le spectre du Petit Bulletin n’a rien de petit !
Son contenu incisif, décalé et diversifié peut être étonnant. Justement, ce bulletin a su garder cette touche d’originalité au fil des évolutions culturelles et technologiques.
Un succès historique
Des pages A4 diffusées gratuitement par un groupe d’étudiants en 1993, voilà les débuts d’une belle aventure. 1000 exemplaires pour 100 points de distribution, Le Petit Bulletin forge son identité dans un mélange d’édito et d’agenda des activités culturelles.
Marc Renau, son fondateur lyonnais, connaît bien des montagnes et des concurrents durant son parcours. L’équipe de rédaction s’agrandit, aussi le nombre de pages et d’exemplaires augmente. Évolutive, la version web renforce et complète la distribution de la version papier.
À vrai dire, cet hebdomadaire culturel connaît trois éditions : l’édition de Grenoble en 1993, celle de Lyon en 1997 et celle de Saint-Étienne en 2012. Ces dernières années, le nombre de lectures monte dans les 5000 par jour, dont 3500 fidèles. Pour une lecture moyenne de 13 minutes, un lecteur estime avoir lu 6 pages. Tant de chiffres illustrent la montée du bulletin en notoriété et en intérêt.
Un contenu bien agencé dans un format tabloïd
Seize à quarante pages au format tabloïd pour vous faire voyager, Le Petit Bulletin traite divers thèmes pour allier le nécessaire et le loisir. Du cinéma, musique, théâtre, expositions, conférences, sorties aux soirées culturelles, chacun peut y trouver son intérêt. Chaque mercredi, les éditeurs vous fournissent un agenda complet des sorties culturelles. Analyses, critiques et classements viennent au rendez-vous pour donner au lecteur un libre choix.
Sur le fond, ce bulletin s’inspire des informations généralement brutes sans des vagues de commentaires. Sur la forme, le côté graphique est poussé afin de bien agencer le sens de lecture et mettre de la nuance sur tout le contenu. Le contenu éditorial se distingue par l’actualité de la semaine qui peut prendre jusqu’à 6 pages. Cette rubrique consacrée au cinéma vous permet de rester à jour sur les nouvelles sorties. Elle rassemble les commentaires de films, les interviews ou encore les portraits de personnalités et acteurs locaux.
Un bulletin distribué à une audience bien ciblée
Le Petit Bulletin cible principalement les urbains actifs et connaisseurs de cultures bien distinguées. Fans de hip-hop, de cinéma, de Street art ou de beaux-arts, tous ont un intérêt à lire ce journal de référence. L’art ne distingue ni la situation professionnelle ni le genre. De même, ce journal n’exclut aucune catégorie ; étudiants, salariés, entrepreneurs et retraités se retrouvent sur le même pied d’estrade.
Ce grand réseau est connu pour son accessibilité. Le bulletin est distribué dans un esprit de libre-service. 35 000 exemplaires gratuits servis à Grenoble, 45 000 à Lyon puis 30 000 en Saint-Étienne, de quoi ravir les amateurs et adeptes des pages culturelles. Le Petit Bulletin est rapatrié tous les mercredis dans plus de 1000 points de distribution. Au bilan, 97 % des exemplaires distribués atterrissent réellement auprès de lecteurs. Le Petit Bulletin connaît un succès stable. Ce triomphe témoigne d’un réseau de distribution efficient et d’une répartition optimisée.
Les acteurs du succès du Petit Bulletin
Fondateurs, rédacteurs en chef et équipes éditoriales confondus, 25 personnes assurent au Petit Bulletin le succès régional que nous lui connaissons. Avec Marc Renau et Magali Paliard-Morelle à sa tête, le bulletin se concentre sur la distribution massive. Les 100 000 exemplaires tirés chaque mois permettent de maintenir un développement régional stable.
Avec le Groupe Unagi aux commandes de l’édition depuis 2018, Le Petit Bulletin connaît un réel essor. Ce groupe résulte de la fusion de la société Le Petit Bulletin Holding avec Spot média. Grâce à ses sites web et ses participations dans divers médias, Unagi détient un réseau d’influence puissant. Cette nouvelle étape s’accompagne de l’entrée de nouveaux investisseurs : six Rhônalpins connus dans le milieu de la culture. En somme, le groupe renforce sa transformation digitale. Pour la part du Petit Bulletin, l’audience est décuplée grâce à ses déclinaisons sur le web.
Diverses versions pour mieux se distinguer
La distribution de la version papier étant déjà acquise, d’autres déclinaisons voient le jour. Pour le plus grand bonheur des internautes, une version web de ce journal de référence devient également disponible. Pour un total de 800 000 pages vues/mois, Le Petit Bulletin ajoute les internautes à son audience papier. Une fois sur le web, le réseau de distribution s’agrandit. Le suivi plus facile permet d’effectuer un référencement plus ciblé.
Garder sa notoriété n’est pas chose facile pour les leaders du bulletin, des cours et stages sont ajoutés afin d’augmenter le référencement. Ces extensions apportées au bulletin, à titre de services payants, tirent leurs atouts dans l’ancienneté et les années d’expérience. En parallèle, le référencement en gagne une grande bouffée d’air, de quoi renforcer des valeurs sures : la diversité et la pertinence. Les générations, partagées par la technologie, peuvent se réunir autour de sujets culturels grâce au Petit Bulletin.
Presse à proximité
Notes & avis
Répartition des avis
5 étoiles | 40% | |
4 étoiles | 20% | |
3 étoiles | 20% | |
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Mars 2021 Isabelle DIVAY4 / 5lecture hebdo toujours agréable sur le monde culturel de la métro Lyonnaise .. J’espère que l’absence d’affichage des horaires de ciné, spectacles et expos n’est que provisoire avec ce contexte de couvre feu et de modifs des horaires. Car c’est tellement bien , d’un coup d’œil, sans écran, de pourvoir lire les programmations et de se faire son choix ....
merci à vous .. Parfois quelques articles pompeux et difficiles à piger .
Mars 2020 sergine heckel3 / 5bon gratuit d’informations culturelles qu’on lit... parce qu’il est gratuit et accessible partout. Lecture plutôt fluide et agréable sauf les éditos de Sébastien Brocquet ! par pitié qu’il se cantonne aux fondamentaux du journal et arrête de se prendre pour Laurent Joffrin ; il n’en a ni le talent, ni le lectorat. L’éditorial du n°952 était une prise de position politique inappropriée et partisane...
Mars 2020 Bruno De Maria5 / 5Très bon journal local
Mars 2019 Clarisse Faivre1 / 5C’est juste un gratuit qui a l’avantage de donner les horaires des cinémas ou des spectacles. Par contre côté rédactionnel il vaut mieux ne pas être regardant. Comme ils sont gratuits ils sont dépendants de la pub et comme les institutions lyonnaises leur achètent des quarts ou demi ou pages entières, évidemment les critiques de ces lieux sont hyper softs.Je vous déconseille la lecture des articles d’une certaine N.Pobel elle écrit plutôt mal et a peu de culture mais elle est pontifiante au possible et surtout elle a ses têtes et ses chouchous. Comme T.Ostermeier le metteur en scène allemand qu’elle défend quoi qu’il fasse.Mais bien d’autres comme E.Meirieu de toute façon elle est juge et partie le plus souvent. Mais ses collègues ne sont pas en reste. Bref c’est de la bouillie pour les chats. Contentez vous de consulter les agendas. Petit conseil d’amie :-))